mercredi 26 septembre 2007

La cellulite

La cellulite
Les causes de la cellulite
La Cellulite - Différents types
Eviter et combattre la cellulite
La cellulite est le résultat d’un emprisonnement de graisse, de toxines et d’eau dans l’hypoderme (couche profonde de la peau) entraînant l’apparition de nodules (groupement d’adipocytes), signes visibles de la déformation du tissu conjonctif sous-cutané.
Le mot cellulite a été créé dans des établissements de beauté et de rajeunissement en Europe pour décrire les dépots de gras donnant à la peau une allure potelée, de pelure d'orange retrouvée aux hanches et fesses chez beaucoup de femmes. La cellulite apparemment serait un type de gras qui est devenue anormal, un ensemble de matière graisseuse, d'eau, et de déchets toxiques dont l'organisme ne s'est pas débarassé.
La cellulite n'est pas un terme médical. Les autorités médicales sont d'accord que la cellulite est tout simplement du tissu graisseux ou adipeux ordinaire. Les rangs de tissu fibreux lient la peau à des tissus sous-jacents et en plus séparent les compartiments contenant les cellules adipeuses. Lorsque les cellules adipeuses grossissent, ces compartiments deviennent gonflés et produisent une apparence gaufrée. Il y a plusieurs années, Neil Solomon, M.D., a dirigé une étude à double insu de 100 personnes pour démontrer si la cellulite était différente du tissu adipeux régulier. Les échantillons de gras usuel et gras potelé étaient prélevés par biopsie par aiguille et remis à des pathologistes pour analyse et comparaison. Il n'ont trouvé aucune différence entre les deux.
La cellulite est l'objet de nombreuses attentions de la part des laboratoires cosmétiques. Le développement des cellules graisseuses et des cellules conjonctives situées sous la peau augmente son épaisseur et lui donne son aspect bien connu et irrégulier: la peau d'orange. Ce phénomène naturel est essentiellement d'origine hormonale, ainsi seules les femmes sont concernées: les principaux responsables sont les estrogènes (hormones féminines).
Les causes de la cellulite:
Les causes directes de la cellulite ne sont pas clairement établies, mais certains facteurs semblent influencer son apparition à des degrés divers, selon l'individu. l'hérédité, la fluctuation des hormones à l'adolescence, pendant la grossesse et à la ménopause, la prise de contraceptifs oraux, les problèmes circulatoires, la surcharge de poids, le régime alimentaire, le tabagisme, l'alcool et même le stress semblent tous incriminés. À cause de ces facteurs multiples, la cellulite n’épargne pas les minces. Douce revanche de la nature: même les mannequins se plaignent de leurs capitons.Plusieurs facteurs causent la cellulite:
Les radicaux libres :
Notre alimentation pauvre en fruits et légumes (anti-oxydants) favorise la production de radicaux libres qui accélèrent la destruction des fibres de collagène et d’élastine entourant les parois veineuses. Ceci augmente leur porosité et favorise l’engorgement des vaisseaux et la rétention d’eau.
Le stockage des graisses:
Le stockage des graisses, appelé lipogénèse, s'effectue sous la peau dans des lobules graisseux: les adipocytes qui sont perpendiculaires à la surface cutanée.
Si la consommation de ces graisses par l'organisme et la lipogénèse s'équilibrent, la taille des tissus graisseux reste normale. Si au contraire, il y a un stockage de graisses trop important par rapport à la consommation, les adipocytes s'hypertrophient, comprimant les vaisseaux sanguins et lymphatiques. Cette compression entraîne un mauvais drainage de l'eau et des toxines.
La rétention d'eau:
La rétention d'eau et la dégénérescence des fibres de collagène, les fibres du tissu cutané, donnent alors un aspect capitonné à l'épiderme, appelé peau d'orange. Ce phénomène se développe plus particulièrement dans certaines régions du corps: les cuisses et les fesses. La rétention d’eau est aussi favorisée par l’alimentation moderne riche en substances chimiques diverses. Lors de la digestion, l’organisme qui ne reconnaît pas ces substances, produit des molécules éponges qui retiennent l’eau.
Facteurs Endocriniens :
L’apparition de la cellulite est directement en relation avec les fluctuations hormonales féminines qui contrôlent les circulations sanguine et lymphatique, le stockage graisseux ainsi que l’architecture du tissu conjonctif. De ce fait, la cellulite se constitue principalement durant les étapes de la vie génitale féminine telles que la puberté, la grossesse, la ménopause ou péri ménopause, les cycles menstruels et les premiers mois de la prise de contraceptifs oraux.
Facteur hormonal :
Neuf femmes sur dix connaissent ces petits « matelas » graisseux qui enrobent le corps.La cellulite se fait sous influence des hormones également, essentiellement estrogènes chez la femme, testostérone chez l’homme, insuline et hormones du stress, qui agissent sur des récepteurs localisés sur les cellules graisseuses. Selon le sexe, l’âge, l’équilibre nutritionnel, les prédispositions génétiques, le niveau de pratique d’une activité physique et l’état psychologique de chacun, les rondeurs se forment ou s’éliminent plus ou moins facilement.
Facteurs alimentaires :
La cellulite s’installe à la suite de changements physiopathologiques complexes du tissu sous-cutané malgré une bonne hygiène de vie alimentaire et physique. Il est évident qu’une mauvaise nutrition et un mode de vie sédentaire sont des facteurs qui peuvent aggraver l’aspect de la cellulite et accélérer son évolution.
Influence de l’age :
Le vieillissement tissulaire cutané et sous-cutané s’accompagne d’une perte d'épaisseur, de souplesse et d'élasticité du tissu conjonctif ce qui amplifie l’apparition de la cellulite.

• La localisation préférentielle des graisses varie selon le sexe en raison des hormones sexuelles différentes (principalement estrogènes chez la femme et testostérones chez l’homme). Chez l’homme, elle est « androïde », les tissus adipeux se déposant plus volontiers sur la partie supérieure du corps, au niveau de la « bedaine », des épaules et du cou. Chez la femme, elle est « gynoïde », en référence aux régions de ses membres inférieurs
La Cellulite - Différents types:
Cellulite avec rétention d’eau (Oedeme) : Molle au toucher, elle est due à un ralentissement veino-lymphatique qui va créer une accumulation d’eau dans le tissu adipeux.
Cellulite adipeuse : Plus compacte, elle est due à l’augmentation de la taille des adipocytes avec formation de micro nodules.
Cellulite fibreuse ou indurée: Dure au toucher, elle est due au durcissement des fibres de collagène qui entourent les adipocytes regroupés cette fois en macro nodules.

Un test pour la cellulite:
Pour savoir si vous avez la tendance d’avoir la cellulite, vous pouvez appuyer légèrement ou pincer un secteur de tissu entre votre pouce et votre doigt (ou dans un plus grand secteur, entre les paumes de vos deux mains). La peau normal apparaît assez lisse, mais la cellulite révélera des cavités et des ondules comme la peau d'une orange. Le tissu de cellulite est aussi plus sensible et peut sentir le froid quand il est touche’, et il est plus blanc que le reste de votre peau.

Eviter et combattre la cellulite:
80% des femmes ont de la cellulite, principalement d’origine hormonale, celle-ci touche aussi bien les rondes que les minces. Plusieurs facteurs vous aident a combattre et a eviter la cellulite.
· Un régime alimentaire est une méthode efficace pour combattre la cellulite. Pour retrouver pleine forme et vitalité, Il est d'abord nécessaire dans un premier temps de se débarrasser des mauvaises vieilles graisses, celles qui se sont installées progressivement et qui ont largement contribué à épaissir le volume de votre peau.Il faut appliquer un régime alimentaire riche en fruits et légumes, il est necessaire d’eliminer les aliments riches en graisses d’origine animal.Un bon régime alimentaire peut nous aider a diminuer les toxines qui causent la cellulite.
· Les exercices et le sport ne font pas disparaître entièrement la cellulite, mais le sport est encore la meilleure solution pour raffermir le corps et se dessiner une silhouette harmonieuse. Les cuisses et les fessiers sont les zones à solliciter en priorité grâce à de petits exercises à réaliser chaque matin.Faire du jogging, du vélo ou de la natation trois fois par semaine pendant au moins ½ heure permet également de brûler des calories et de raffermir la peau.
· Les massages permettent d’augmenter la circulation et de favoriser l’élimination des toxines. Masser la peau et insister sur les zones les plus sensibles.

Aujourd’hui, vous pouvez trouver beaucoup de produits pharmaceutiques pour la cellulite. La plupart de ces produits ne sont pas efficaces et ont de nombreux effets secondaires qui peuvent être nocifs à votre santé.
Cellu-Quit
Huile de massage composée de plantes permettant de réduire visiblement la cellulite en améliorant la circulation des liquides dans l’hypoderme. Flacon de 100 ml

Action du Cellu-Quit:
Les plantes ont été sélectionnées pour leurs actions thermogènes et drainante. Elles favorisent une meilleure circulation sanguine, une amélioration de la qualité du tissu conjonctif, un meilleur drainage des déchets et la réduction des cellules adipeuses.
Résultats de Tests effectués par le Dr Thiry, membre de la Société Française de Médecine Esthétique : « Après un mois d’utilisation, 2 fois par jour : diminution du périmètre des cuisses, du pli cutané, de la masse grasse. Conclusion : Efficacité incontestée et étonnante de l’huile ».

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Tél. : 00 41 22 930 00 42 info@botavie.com
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Les infections urinaires

Les infections urinaires
Les types d’infections urinaires
Les causes des infections urinaires
Les symptômes de l’infection urinaire
Les infections urinaires sont les plus fréquentes de toutes les infections bactériennes car l’urine n’a en effet aucune propriété pour résister aux microbes, et peut donc être un excellent milieu de culture. L’urine normale est stérile, c’est à dire qu'elle ne contient à l'état normal ni microbe, ni virus ni champignon. Une infection urinaire survient quand un micro-organisme, habituellement une bactérie provenant du tube digestif, pénètre dans l’urètre puis dans la vessie et commence à se multiplier. Ainsi, l'infection est habituellement ascendante, c'est à dire que l'infection est d’abord dans l’urètre (urétrite), puis remonte dans la vessie (cystite), et éventuellement jusqu’aux reins (pyélonéphrite). La plupart des infections sont liées à un type de microbe, Escherichia Coli (E. Coli), qui vit normalement dans le colon. Mais d'autres microbes peuvent être en cause: Protéus, Staphylocoque, Streptocoque, Klebsielle, etc… L'infection à Protéus est souvent associée à la présence de calculs dans les reins.D’autres organismes, comme le Chlamydia et le Mycoplasme, peuvent également causer des infections chez l’homme et la femme, mais ces infections sont habituellement limitées à l’urètre et aux organes génitaux. Contrairement aux autres infections urinaires, l’infection par Chlamydia ou Mycoplasme peut être vénérienne, c'est à dire transmise d’un partenaire à un autre, et le traitement nécessite donc le traitement des deux partenaires.
L’infection urinaire chez la femme est favorisée par la faible longueur de l'urètre, la modification de l'acidité par la diminution normale des hormones (oestrogènes) et des sécrétions après la ménopause, et certaines habitudes d’hygiène facilitent la colonisation de l'urètre par des bactéries d'origine digestive. L’infection est surtout favorisée par les rapports sexuels, car le frottement au niveau du méat urinaire lors des rapports favorise l'entrée des microbes dans l'urètre et dans la vessie. Souvent, la première infection coïncide avec le début de l'activité sexuelle. Les prolapsus de l’utérus et de la vessie, qui entraînent une mauvaise vidange de la vessie, favorisent également l'infection. La grossesse peut favoriser l’infection car la compression par l’utérus entraîne une dilatation voire une certaine obstruction des uretères.
La longueur de l'urètre et les sécrétions prostatiques acides (au rôle anti-bactérien) expliquent en partie la rareté des infections chez l'homme jeune. Chez l'homme plus âgé, la diminution de ces sécrétions, l'augmentation du volume prostatique et surtout la mauvaise vidange vésicale liée à l'obstacle prostatique favorisent la survenue des infections génito-urinaires.
En pratique, on distingue:
Les infections sans fièvre, limitées à l'urètre (urétrite) et à la vessie (cystite), gênantes mais bénignes.
Les infections accompagnées de fièvre, touchant les reins (pyélonéphrite aiguë), la prostate (prostatite aiguë), le testicule (orchite) ou l'épididyme (épididymite), qui peuvent être graves. La fièvre est liée au passage du microbe dans le sang (bactériémie). Le risque est l'aggravation de l'infection, et la septicémie.
Les infections dites "compliquées" qui surviennent après une intervention, en cas d’obstruction (adénome de la prostate, anomalie anatomique, vessie neurologique, calcul, sondage…), ou dans un contexte particulier (ménopause, diabète...) qu’il faut éventuellement traiter en même temps que l'infection.
Les infections urinaires sont les infections bactériennes les plus fréquentes quelque soit l'âge.
Entre 20 et 50 ans, les infections sont 50 fois plus fréquentes chez la femme, mais après 50 ans l’incidence chez l’homme augmente nettement du fait de l’augmentation des maladies prostatiques, et le ratio est donc seulement de 3/1 chez les gents âgés.
Les types d’infections urinaires :
On distingue trois types d'infections urinaires, selon la localisation de l'infection.
La cystite :
La Cystite est la forme d'infection urinaire la plus courante, la cystite touche presque uniquement les femmes. Il s'agit de l'inflammation de la vessie. La plupart du temps, l'inflammation est provoquée par la prolifération de bactéries intestinales de type Escherichia Coli, qui sont nombreuses aux environs de l'anus. Les bactéries passent de la région vulvaire à la vessie en remontant l'urètre. Tout ce qui gêne la vidange de la vessie augmente le risque de cystite. La cystite s'accompagne normalement d'une urétrite et d’une inflammation de l'urètre.
Les signes d'une cystite sont très caractéristiques : brûlures à la miction (dysurie), envies fréquentes d'uriner (pollakiurie), urines troubles, souvent teintées de gouttes de sang en fin de miction (hématurie terminale), mais sans fièvre ni douleur lombaire.
L’urétrite :
Si l'infection touche uniquement l'urètre (le canal qui relie la vessie au méat urinaire), on l'appelle urétrite. Il s'agit d'une infection transmissible sexuellement (ITS) courante chez les hommes, mais les femmes peuvent aussi en souffrir. Différents agents infectieux peuvent causer l'urétrite. Les plus communs sont la chlamydia et le gonocoque (la bactérie responsable de la gonorrhée).
La Pyélonéphrite :
La pyélonéphrite est un état plus grave. Elle désigne l'inflammation du bassinet et du rein (du grec puelos = bassin et nephros = reins). Celle-ci résulte généralement d'une infection bactérienne. Il s'agit d'une complication d'une cystite non traitée ou mal traitée qui permet la prolifération des bactéries de la vessie vers les reins. La pyélonéphrite aiguë survient surtout chez la femme, et principalement la femme enceinte.
La pyélonéphrite aiguë de la femme jeune se traduit typiquement par un tableau infectieux sévère avec fièvre à 40°C et frissons généralisés, douleur lombaire unilatérale évoquant une colique néphrétique, nausées ou vomissements, émission d'urines troubles et foncées.
Lorsqu'une personne est affectée par un problème chronique aux voies urinaires (malformation anatomique, maladie des reins ou de la vessie), il n'est pas rare qu'elle souffre d'infections récurrentes. Souvent, ces problèmes sont aggravés par les interventions en milieu hospitalier, comme le port d'une sonde urétrale (cathéter) pour recueillir l'urine.
Les causes des infections urinaires :
Ils existent plusieurs facteurs qui favorisent les infections urinaires :

Le Diabète :
Le diabète peut se définir comme une perte de contrôle à la hausse de la glycémie (sucre dans le sang). Chez l'être humain, une hormone est responsable d'empêcher la glycémie de s'élever dans le sang. Cette hormone s'appelle l'insuline.
Chez les patients souffrant de diabète, deux situations peuvent se produire:
L'insuline est produite par le pancréas. Ce dernier peut diminuer ou arrêter la production de l'insuline. Dans ces situations, la glycémie augmente et la maladie du diabète apparaît.
Dans d'autres situations, il s'agit d'une résistance à l'action de l'insuline au niveau cellulaire. L'insuline est nécessaire pour faire entrer le sucre dans les cellules. Cette résistance à l'action de l'insuline rend celle-ci moins efficace, dans ce cas le sucre s’accumule dans l’urine. Alors à ce moment, la glycémie monte et la maladie du diabète apparaît.
Le diabète est considere’ un facteur de risque causant une infection urinaire, parce que les taux de sucres s’accumulent dans l’urine ce qui conduit à une infection.
Les calculs rénaux :
Une infection urinaire peut résulter d'un blocage de l'écoulement normal de l'urine ou d'une accumulation d'urine qui remonte de la vessie jusqu'aux reins. Des infections récurrentes peuvent être dues à des calculs rénaux ou vésicaux. Très rarement, des bactéries dans le sang peuvent infecter les reins.
La fréquence de cette maladie a beaucoup augmenté depuis la fin de la seconde guerre mondiale, parallèlement à la modification des habitudes alimentaires. Celle ci se caractérise principalement par une augmentation de la consommation de la viande, de sel et de sucres raffinés. Un apport en calcium insuffisant favorise aussi la formation de calculs oxaloacétiques.
Les calculs se développent le plus souvent dans les reins, et les voies urinaires. Lorsque les urines sont trop concentrées, elles sont saturées en solutés qui peuvent précipiter sous forme de cristaux au niveau du rein.
Les urines permettent d’éliminer un certain nombre de déchets comme l’urée, l’acide urique et l’oxalate mais aussi d’autres substances comme le calcium ou le sodium.Lorsque les taux de ces substances deviennent excessifs l’urine serait incapable de les eliminer, ce qui conduit à une infection.
Le manque de liquides :
Le défaut de boissons, qui a pour corollaire des mictions espacées et peu abondantes, est un facteur majeur favorisant la survenue de cystites. En effet, les germes tels que le colibacille se multiplient très rapidement dans l'urine. Leur nombre double toutes les 20 minutes, si bien qu'au bout de 6 heures il peut atteindre plusieurs centaines de milliers, ce qui peut déclencher une inflammation aiguë de la vessie. De plus les mictions ont pour effet de chasser les germes ayant pénétré dans la vessie.
Les rapports sexuels :
Les rapports sexuels sont les circonstances déclenchantes les plus communes des infections urinaires chez la femme. Lorsqu’il n'apparaît aucune relation entre la survenue de cystites et les rapports sexuels, il convient de rechercher un facteur local favorisant par une urétro-cystoscopie qui pourra révéler, par exemple, une sténose de l'urètre, un diverticule de l'urètre, des brides hyménéales, voire une tumeur vésicale chez une fumeuse.
La présence d’une infection urinaire est, le plus souvent, en relation avec le début de l'activité sexuelle. Il faut se méfier d'une possible infection simultanée par un agent de maladie sexuellement transmissible (MST) tel qu'un Chlamydia.
Le facteur hormonal :
Chez une femme ménopausée, la sécheresse des muqueuses entraînée par la carence en oestrogènes favorise la survenue de cystites : Toutefois, il faut toujours penser à la possibilité d'une tumeur vésicale, bénigne ou maligne, si bien qu'il est de bonne règle de vérifier l'état de la vessie par une échographie pelvienne ou une cystoscopie.
Les symptômes de l’infection urinaire :
Les symptômes de l’infection urinaire dépendent de l'âge, du sexe, et de la portion de l'appareil urinaire qui est infectée. Le problème essentiel est la remontée de l'infection et l'apparition de fièvre en cas d'atteinte de la prostate (prostatite) ou des reins (pyélonéphrite).
Le diagnostic d'infection urinaire repose sur l'examen bactériologique (ECBU), avec la mise en évidence de la bactérie responsable dans les urines, et l'étude de la sensibilité du germe.
L'infection urinaire peut causer de la douleur lorsque vous urinez. Voici la liste des signes suggérant la possibilité d'une infection urinaire.
Les signes d’infection urinaire sont :
· Les sensations de brûlure en urinant.
· L’impression d'avoir besoin d'uriner plus souvent.
· Le besoin urgent d'uriner sans en être capable.
· La perte d'urine.
· Urine contenant du sang.
Certaines femmes sentent une pression au bas-ventre, et ont mal au dos, éprouvent des nausées et de la fatigue et font même un peu de fièvre. Une infection des reins peut se manifester par de fortes fièvres, des frissons et la sensation d'être malade.
Défenses naturelles des voies urinaires :
Normalement, l'urine est stérile. Elle contient de l'eau à 96 %, des sels et des composants organiques, mais elle est exempte de micro-organismes. Le système urinaire possède de nombreuses défenses contre les infections :
- le flot urinaire expulse les bactéries et rend plus difficile leur ascension vers la vessie et les reins;- l'acidité de l'urine (pH < 5,5) inhibe la croissance des bactéries;- la forme des uretères et de la vessie prévient le retour de l'urine vers les reins;- le système immunitaire en général lutte contre les infections;- la paroi de la vessie contient des cellules immunitaires ainsi que des substances antibactériennes;- chez les hommes, les sécrétions de la prostate contiennent des substances qui ralentissent la multiplication des bactéries dans l'urètre.

SanUral
Complexe phyto-thérapeutique, visant à combattre les infections urinaires. Pilulier de 90 gélules de 375 mg

L’appareil urinaire, quelques notions :
L’appareil urinaire se compose des reins, des uretères, de la vessie et de l’urètre. L’urine est produite à partir du sang filtré par les reins. Les uretères sont des tubes qui acheminent l’urine vers la vessie d’où elle sera évacuée grâce à un canal de sortie appelé urètre.
Action de SanUral :
Il est urgent d’intervenir dès les premiers symptômes (sensations de brûlures). Par son action antibactérienne et anti-inflammatoire, SanUral permet d’assainir les voies urinaires et d’éviter la prolifération de germes dans l’appareil urinaire. Certaines des plantes qui le composent ont également une action anti-inflammatoire et astringente prépondérante.

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Diabète

Relations : Diabète – Hyperglycémie – Hypoglycémie.
Produits : DiabeMine.
Le Glucose dans le sang :
Le glucose est la source principale d’énergie de notre corps. C’est un sucre (ou glucide) qui se trouve à l’état naturel dans les fruits ou qui entre dans la composition de sucres plus complexes (par exemple l’amidon), présents dans les légumes, les céréales, les pommes de terre, le pain et les pâtes. Une fois absorbés, les sucres subissent une fragmentation par les sucs digestifs de notre intestin. Le glucose ainsi libéré passe dans la circulation sanguine et est acheminé aux différents organes, essentiellement le muscle, le foie et le cerveau. Si l’apport de glucose excède notre besoin en énergie, il est mis en réserve dans les muscles et le foie sous forme de glycogène, ou de graisse dans d’autres organes. En cas de besoin excessif et d’apport alimentaire insuffisant, le glucose est libéré à partir de ces réserves. Il peut aussi être fabriqué par notre organisme à partir des graisses et des protéines.
La quantité du glucose dans le sang, ou glycémie, est maintenue dans des limites assez étroites et varie normalement entre 70 et 110 mg par décilitre (ou 3.90-6.10 mmol/l). Le maintien de la glycémie est assuré par différentes hormones dont l’insuline est la plus importante. Elle est fabriquée par une glande appelée le pancréas. L’insuline a été la première hormone caractérisée du point de vue chimique et synthétisée par biologie moléculaire.
L’insuline augmente dans le sang après un repas et facilite la mise en réserve du glucose dans les muscles, le foie et les tissus adipeux (graisse). Si le pancréas ne produit pas suffisamment d’insuline ou est incapable d’en fabriquer, la glycémie augmente alors au delà des valeurs normales et engendre une maladie appelée diabète.


Les complications de l’excès de Glucose dans le sang :


Le Diabète : Le diabète est une maladie métabolique qui se définit par une augmentation constante du taux de glucose dans le sang (hyperglycémie). La glycémie reflète l'équilibre entre les entrées de glucose dans la circulation sanguine et son utilisation par les cellules des différents organes.
On parle généralement de diabète lorsque l'on constate à deux reprises, une glycémie supérieure ou égale à 1 ,26 g/l. La normale se situe entre 0,80 et 1,10 g/l. L'excès de sucre dans le sang est du à un manque d'insuline dans le sang ou à une perte d'efficacité de celle-ci.
L'insuline est une hormone qui permet aux cellules de l'organisme d'assimiler le glucose sanguin et de l'utiliser. Elle est sécrétée par les cellules du pancréas.
Si l'insuline est déficiente, au lieu d'être transformé en énergie ou mis en réserve, le glucose s'accumule dans le sang provoquant une hyperglycémie.
Le diabète est une maladie chronique, d'évolution lente, indolore dont les effets ne sont en général visibles qu'après de longues années. Les premiers signes, très variables, peuvent être : somnolence, troubles de la vision, picotements et engourdissement des pieds et des mains, infections de la peau, lenteur de la cicatrisation (notamment au niveau des pieds), démangeaisons, soif, asthénie, amaigrissement.
On distingue deux sortes de diabète : Le diabète type 1 apparaît le plus souvent pendant l'enfance, à l'adolescence ou au début de l'âge adulte. C'est au moment de la puberté qu'il se déclare le plus souvent.Il se caractérise par l'absence totale de production d'insuline. Environ 10% des personnes diabétiques sont de type 1.
Le diabète type 2 qui représente la majorité (90 %) des diabètes est parfois appelé "diabète de la maturité ". Il apparaît en général après 40 ans, chez des personnes souffrant souvent d'excès de poids. Il est dû à une diminution de la production d'insuline par le pancréas à laquelle s'ajoute souvent une mauvaise utilisation de celle-ci par l'organisme. Le régime alimentaire et une activité physique adaptée, éventuellement associés à des médicaments, traitent ce type de diabète.

On estime le nombre de diabétiques dans le monde à environ 150 millions. En France, 1,5 millions de personnes sont diabétiques mais 500 000 diabétiques ignorent leur maladie. Et pourtant le diabète de par ses complications est la troisième cause de décès dans les pays industrialisés. Le vieillissement de la population, le surpoids (présent chez 53 % des hommes et 69 % des femmes diabétiques), le manque d'activité physique et les modifications des habitudes alimentaires au cours des dernières années sont les principales causes du diabète. Le facteur héréditaire joue également un rôle important dans le déclenchement du diabète: un enfant ayant un parent diabétique le devient lui-même dans un cas sur trois. Avec deux parents diabétiques le risque est de 50 %.

L’hyperglycémie : L’hyperglycémie se définit par une glycémie plus grande que 7 mmol/L à jeun et de 11 mmol/L, une à deux heures après un repas. Elle se produit lorsque la quantité d’insuline dans le sang est insuffisante par rapport à la quantité de glucose qui arrive dans le sang.
Les principales causes de l’hyperglycémie sont une diminution de l’activité physique, une insuffisance d’insuline et/ou d’antidiabétiques oraux (erreur de dosage), un stress physique (maladie, chirurgie, infection, etc.) ou psychologique et la prise de certains médicaments (comme la cortisone).
Chez certaines personnes, l’hyperglycémie peut passer inaperçue. Cependant, au-delà d’un certain seuil, une glycémie trop élevée peut conduire à l’apparition de la fatigue, du besoin fréquent d’uriner, une soif intense, faim exagérée, amaigrissement, vision embrouillée, sécheresse de la peau et démangeaisons, nausées, vomissements, douleurs abdominales, haleine fruitée, Confusion et respiration rapide.

Les complications du manque de glucose dans le sang :
L’hypoglycémie : L'hypoglycémie survient lorsque le taux de glucose (sucre) dans le sang est trop faible. Normalement, votre corps maintient un taux de glucose dans le sang allant de (70 mg/dL à 110 mg/dL). Pour ce faire, l'organisme possède des mécanismes impliquant insuline.
On dit qu’une personne souffre d’hypoglycémie réactive quand elle présente un ensemble de symptômes - habituellement de la faiblesse, de la nervosité et des tremblements - de deux à trois heures après un repas. Plus le repas est riche en sucres, plus les symptômes sont prononcés. Ces malaises sont comparables à ceux que vivent parfois les personnes diabétiques. Ce type d’hypoglycémie résulterait d’une sensibilité excessive du pancréas au glucose. Autrement dit, le pancréas sécrèterait trop d’insuline après l’ingestion de sucre.

La médecine classique ne reconnaît pas l'hypoglycémie réactive comme une maladie. Elle considère plutôt l’hypoglycémie comme un symptôme découlant de l’emploi de médicaments hypoglycémiants prescrits aux diabétiques (insuline ou autres); de diverses maladies (déséquilibre du système glandulaire, insulinome ou maladies du foie, par exemple); ou encore de certaines interventions chirurgicales, généralement à l'estomac.
Un sujet atteint d'hypoglycémie peut ressentir tout ou partie des symptômes suivants :
sensation de faim
tremblements
sueurs
fourmillements dans les extrémités (paresthésie), engourdissement des membres
troubles de la vision
vertiges
fatigue (asthénie)
nausées, vomissements
palpitations cardiaques
pâleur, cyanose
maux de tête (céphalées)
troubles comportementaux : confusion, parole difficile, excitation, énervement...
Dans le cadre des premiers secours, il n'est pas possible de distinguer le malaise hypoglycémique d'un autre malaise : tout malaise ou coma doit faire évoquer l'hypoglycémie, qui lorsqu' elle est profonde et prolongée peut entraîner la mort.


DiabeMine
Gélules permettant d’abaisser et contrôler le taux de glucose dans le sang, en agissant sur les fonctions du pancréas. DiabeMine s’adresse aux personnes souffrant de diabète non insulinodépendant.
Boîte de 60 gélules de 375 mg

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Ballonnement intestinal

Relations : Ballonnement intestinal – Fermentation.

Produits : Deflatil – DynOrgan.

La Flatulence :

Une flatulence est la production d'un gaz digestif, souvent expulsé hors du tube digestif par la bouche ou l'anus. Flatulence vient du latin "flatus" qui signifie "souffler". Les flatulences sont le résultat de la fermentation des matières décomposées ; on y trouve notamment des gaz non odorants : du méthane (gaz inflammable produit par des bactéries), du dioxyde de carbone, de l'azote, de l'oxygène, de l'hydrogène, et des gaz odorants sulfurés. Les gaz sont d'autant plus présents que les aliments se décomposent. La mauvaise absorption de certains glucides (lactose, fructose...) peut aussi provoquer des flatulences. Plus rarement, la giardiase, une parasitose bénigne de l'intestin, est la cause de flatulence. En moyenne, une personne libère par jour de 0,5 à 1,5 litre de gaz, en 12 à 25 occasions.

Dans le cas de Flatulence il s’agit d'éructations (rot) avec souvent sensation de pesanteur de l'estomac, de mauvaise digestion. Le plus souvent il s'agit d'un tic d'éructation : déglutition d'air suivie d'une éructation qui soulage. De plus le seuil douloureux de ces malades est souvent abaissé : il existe une sensibilité anormale à une quantité normale de gaz.Le fait de prendre conscience des mécanismes de ce trouble peut le supprimer. Parfois il s'agit d'un véritable excès de gaz : à l'air avalé à chaque déglutition (2 à 4 litres par jour), peuvent s'ajouter les déglutitions dues au chewing-gum, aux bonbons et les gaz des boissons.


Les causes de la Flatulence :

Le volume de gaz est très variable selon les individus et l'alimentation (200 à 4200 ml/jour).Le plus souvent il s'agit en fait d'un colon irritable avec une sensibilité anormale à une quantité normale de gaz comme l'ont montré plusieurs études.

Tous les aliments passent par la fermentation bactérienne, mais certains causent plus de gaz que d'autres. En particulier ceux qui contiennent du sucre (naturel ou articifiel), des hydrates de carbone et des fibres alimentaires. De plus, les produits laitiers consommés en grande quantité sur une courte période (deux ou trois verres de lait au déjeuner, par exemple), produiront davantage de gaz.
L’intolérance au lactose : Il s'agit d'un déficit en lactase, enzyme qui sert à digérer le lactose (sucre naturel contenu dans les produits laitiers). Ce déficit, habituellement d'origine génétique, peut toutefois apparaître à la suite d'une gastroentérite banale qui lave toute la lactase de l'intestin et qui endommage les cellules qui la produisent. L'intolérance au lactose peut aussi survenir chez une personne qui a complètement cessé de consommer des produits laitiers pendant quelques mois ; l'intestin ne fabriquant alors plus l'enzyme. Lorsqu'il y a déficit en lactase, le lactose se retrouve non digéré dans le gros intestin ; il y fermente donc davantage. En plus de la flatulence, ce problème peut parfois s'accompagner de diarrhées ou de crampes intestinales après l'absorption de produits laitiers.
La constipation : Après quelques jours de constipation, les selles se sont accumulées dans le gros intestin. Le processus de fermentation fonctionnant davantage, il y aura une plus grande production de gaz. Plus rarement le responsable sera une parasitose intestinale la giardiase. Bien sûr, si les troubles sont récents et s'ils existent d'autres signes ou antécédents digestifs personnels ou familiaux, il est nécessaire de faire un minimum d'examens.
L’aérophagie : Mauvaise habitude ou tic qui consiste à avaler trop d'air en mangeant et en buvant. Une trop grande quantité d'air dans l'intestin entraînera une sensation de ballonnement, des gaz et des rots.
Le ralentissement des mouvements de l'intestin : Le travail de l'intestin peut se trouver ralenti après un repas copieux et gras, plus difficile à digérer. L'individu aura tendance à sentir de l'inconfort, mais sans qu'il y ait nécessairement plus de gaz intestinaux.
Une Prévention :
Si vos problèmes de flatulence vous incommodent vraiment, tenez un journal alimentaire. Notez-y tout ce que vous mangez et vous arriverez sans doute, par élimination, à trouver l'aliment responsable, que vous devrez sans doute consommer en faible quantité.
Faire une promenade après le repas. Une marche d'une quinzaine de minutes stimule la digestion, prévenant ainsi le ballonnement et la formation de gaz intestinaux.
Changer de boissons. Évitez les boissons gazeuses et la bière. Après un repas, prenez des tisanes de camomille, de menthe ou de fenouil plutôt que du café ou du thé. Elles ont des propriétés qui aident à prévenir le ballonnement et la flatulence. Il semble aussi que quelques gouttes d'extrait de menthe, de cannelle ou de gingembre dans un verre d'eau aient le même effet.
Manger moins gras. Pour une digestion facile et sans ballonnement, évitez les repas gras et copieux. Pour la même raison, prenez le temps de bien mastiquer votre nourriture.

Deflatil
Gélules pour les problèmes de ballonnement intestinal et flatulences, aussi pour les inflammations intestinales et diverticuloses.
Boîte de 60 gélules de 375 mg
L’action du complexe Deflatil :
Deflatil est composé de plantes et substances naturelles spécifiques qui diminuent la formation de gaz en limitant à la source les fermentations et la présence de moisissures dans les intestins. Il en résulte que Deflatil est aussi très efficace dans les cas d'inflammations intestinales et de diverticuloses.

Deflatil ne contient aucune forme de produits anti-acides, il ne modifie en rien l’acidité de l’estomac et du système digestif.

D’autres plantes qui forment la composition de Deflatil peuvent être considérées comme des excipients, elles contribuent à faciliter et contrôler l’assimilation de la préparation et d’échelonner son action dans le temps.




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Ostéoporose

Relations : Ostéoporose – Arthrose - Arthrite

Produits : Osteoparine – ArthroMine - ArthriKal.

La Décalcification :
Définit comme étant la diminution de la quantité de calcium contenu dans l'organisme humain et nécessaire à sont fonctionnement, la décalcification est aussi souvent connue sous le terme de déminéralisation squelettique. Toutefois, il faut noter qu'il existe deux types de décalcification qu'il serait judicieux de bien distinguer : il s'agit d'une part, de la décalcification par insuffisance hormonale (ou décalcification localisée) relative à la sécrétion des oestrogènes provoquant une ostéoporose et d'autre part, la décalcification diffuse provoquée par la dégradation disproportionnée du tissu osseux du fait de la production excessive d'hormones parathyroïdiennes (PTH) : c'est l'ostéolyse intense.

La décalcification des os est un processus naturel du corps en relation avec le vieillissement. Jusqu'à nos 30 à 35 ans nous produisons plus d'ossature que nous en usons. Entre 35 et 50 ans l'apport et l'usure de notre squelette est plus ou moins en équilibre. Après la cinquantaine l'usure est plus importante que la calcification des os. Ceci surtout chez les femmes ménopausées, et particulièrement lorsque l'apport des oestrogènes est limitée (arrêtée), l'ostéoporose est à ce moment là une affection fort présente.

La décalcification peut être liée et survenue à la suite de diverses maladies (tuberculose, diabète, déficiences en phosphore, en magnésium, en silice, calcium. La décalcification peut être provoquée par une mauvaise fixation du calcium. Ce peut être alors une carence en Vitamine D qui est la cause. Cette vitamine permet en effet la bonne absorption du calcium et de la silice. Elle touche principalement les os et accessoirement les phanères (les dents, les cheveux, les ongles) avec perte de calcium des os et une carence en Vitamines D lors de la croissance, lors de la ménopause (l'ostéoporose), de fractures, et autres troubles endocriniens. C'est une maladie grave qui nécessite des soins médicaux attentifs.

Tout individu est exposé à la demineralisation osseuse. Les femmes ont leur capital osseux maximum à l’âge de 20 ans, les hommes à 30 ans. A partir de cet âge, les phénomènes de résorption osseuse deviennent supérieurs aux phénomènes de reconstruction. Plus on avance en âge, plus le déficit osseux s’accentue. Ce déficit est accentué par des apports calciques insuffisants, la ménopause, le tabagisme, la consommation excessive de boissons alcoolisées, l’absence d’activité physique, des antécédents familiaux d’ostéoporose.

Les causes de la décalcification :

La décalcification se manifeste par les causes intrinsèquement liées à la vieillesse car, au fil du temps, avec l'âge, le squelette humain se déminéralise et la quantité de calcium se fait disproportionnée par rapport à celle espérée.

La Ménopause : Habituellement, ce sont les femmes qui sont le plus touchées par la décalcification car, dès la Ménopause, la proportion de calcium stockée dans le squelette est de plus en plus faible. La moyenne d'âge en France se situe vers 50 ans, mais en général c'est entre 40 et 55 ans que la femme sera ménopausée. La production des hormones de reproduction s'arrête (progestérone et oestrogènes) et les ovaires arrêtent de fonctionner, les règles s'arrêtent. Quatre ans environ avant la ménopause, les premiers symptômes apparaissent. Les troubles liés à la ménopause sont gênants : le plus fréquent est l'apparition de bouffées de chaleur et suées nocturnes pouvant perturber le sommeil.


La Sédentarité : La sédentarité peut se définir comme un manque de pratique de l'activité physique minimale répondant aux besoins de l'organisme humain. Cette activité physique nécessaire correspond à un exercice ou une occupation, provoquant un début d'essoufflement et une accélération du rythme cardiaque (exemple: marche rapide, vélo lent). L’inactivité physique est un facteur de risque qui conduit à la décalcification osseuse.

L’exposition au soleil : Nous sommes tous différents, notre squelette l'est aussi face aux rayons du soleil. Il faut en prendre conscience et ne pas se laisser envahir par l'envie de faire la « crêpe » au soleil sans se protéger. Même le squelette est sensible aux rayons solaires.

Il faut aussi noter que les causes peuvent être liées au bagage héréditaire de l'individu, ou alors, à son hygiène de vie irrégulière, la carence en vitamine D, la consommation immodérée d'alcool et de café qui influencent le remodelage osseux, ou même les effets relevés lors de certains traitements (cortisones, hormones thyroïdiennes, anticonvulsifs par exemple...).


Les symptômes et les complications :

En ce qui concerne les symptômes de la décalcification, l'on note une fragilité des os au point de se faire une fracture en éternuant ! Les risques de fractures touchent essentiellement les os du poignet, de la hanche, de la colonne vertébrale, les os du bassin, le col du fémur... et souvent, sont marqués par des maux de dos, des épaules courbées, une bosse dans le dos, et parfois même, l'on assiste à la diminution de la taille de l'individu.

Une prévention :
Il est possible de limiter les risques, sans assurer que cette prévention mettra à l’abri à 100 %. Pour cela il faut :
Avoir des apports alimentaires calciques suffisants,
Avoir une activité physique régulière,
Arrêter le tabagisme,
Réduire la consommation de boissons alcoolisées,
Corriger un déficit hormonal,
Éviter autant que faire se peut les traitements corticoïdes prolongés,
Mettre en route un traitement préventif systématique,

La décalcification osseuse peut conduire a des autres maladies comme l’Ostéoporose, l’Arthrite et l’Arthrose, donc il est necessaire de la prévenir.

ArthriKal I et II
Traitement sous deux formes complémentaires (lotion et gélules) pour réduire les inflammations localisées aux articulations et ainsi traiter les douleurs associées aux problèmes rhumatismaux inflammatoires de l’arthrite.
ArthriKal-I : Flacon de 50ml de lotion huileuse et
ArthriKal-II : Pilulier de 90 gélules de 375 mg

ArthroMine
Traitement permettant une meilleure irrigation des articulations favorisant ainsi l’apport de silice assimilable aux tissus cartilagineux et améliorant la viscosité du liquide synovial. Le traitement enclenche aussi l’inhibition du processus naturel de destruction du cartilage.
Boîte de 90 gélules de 375 mg

OsteoParine
Complexe phytothérapeutique favorisant la régénération du tissu osseux en améliorant l'absorption et la fixation du calcium. Une réponse préventive ou curative à la décalcification osseuse et à l'ostéoporose. Remplace avantageusement les Traitements Hormonaux de Substitution (THS) sans leurs effets secondaires indésirables lorsque qu’il s’agit de traiter l’ostéoporose, sans toutefois adresser les problèmes hormonaux.
Boîte de 90 gélules de 375 mg

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Cardiopathie coronarienne

Relations : Cardiopathie coronarienne – Artériosclérose – Infarctus de Myocarde – Angine de poitrine – Hypertension – Cholestérol.

Produits : CardioVascine – TensioReg – CholestCure.

Le cœur :
Le cœur est un organe musculaire creux en forme de poire situé entre les poumons, au milieu de la poitrine. Il assure la circulation du sang dans tout l'organisme, permettant aux cellules de recevoir oxygène et nutriments. Il est fixé au sternum par des tissus conjonctifs particuliers appelés ligaments. La taille d'un cœur adulte est comparable à celle du poing. Chez un individu moyen, il mesure environ 13 centimètres de long sur 8 centimètres de large, et pèse moins de 500 grammes. Le cœur, situé entre vos poumons au milieu du thorax est le moteur du système cardiovasculaire, dont le rôle est de pomper le sang qu'il fait circuler dans tous les tissus de l'organisme.
Pour répondre aux besoins énergétiques du corps, le cœur doit battre plus de 100 000 fois par jour. Comme tous les autres tissus de l'organisme, le cœur aura besoin d'oxygène et de nutriments pour fonctionner correctement. Le sang qui circule dans le cœur va trop vite pour y être absorbé, si bien que le cœur dispose de son propre système de vaisseaux, appelé artères coronaires, qui le vascularisent. Il comprend quatre cavités. Les cavités supérieures sont appelées oreillettes, elles sont petites, car elles ne peuvent contenir que trois demi-cuillères à soupe de sang à la fois. Les cavités inférieures sont appelées ventricules, ils sont un peu plus gros que les oreillettes et peuvent contenir environ un quart de tasse de sang à la fois. Il est plutôt bizarre de réaliser que ces petites cavités sont chargées de pomper presque 8 000 litres de sang par jour. Dans la partie supérieure de l'oreillette droite se trouve un petit morceau de tissu cardiaque spécial appelé nœud sino-auriculaire (ou nœud sinusal de Keith et Flack). Cette région commande tout le mécanisme de régulation des battements cardiaques. C'est le stimulateur cardiaque naturel, chargé de déclencher et établir les battements cardiaques. Cette région minuscule commande à votre cœur d'accélérer lorsque vous courez ou que vous faites de l'exercice, et de ralentir lorsque vous êtes assis ou que vous dormez.
Chaque moitié du cœur fonctionne séparément de l'autre. Le côté droit du cœur est chargé de renvoyer le sang pauvre en oxygène aux poumons pour éliminer le dioxyde de carbone et ré oxygéner le sang. L'oreillette droite reçoit le sang veineux apporté par la veine cave. Le sang est ensuite propulsé dans le ventricule droit. Lorsque ce dernier se contracte le sang pénètre dans l'artère pulmonaire et dans les poumons. L’artère pulmonaire est la seule artère de l'organisme à transporter du sang pauvre en oxygène. Le côté gauche du cœur reçoit le sang fraîchement oxygéné provenant des poumons et le redistribue dans tout le corps. Le sang oxygéné pénètre dans l'oreillette gauche par les quatre veines pulmonaires. Ce sont les seules veines de l'organisme à transporter du sang oxygéné. Le sang est ensuite propulsé dans le ventricule gauche et doit traverser la valve mitrale, qui contrôle le débit. Les parois du ventricule gauche sont trois fois plus grosses que les parois du ventricule droit. L'épaisseur du muscle cardiaque donne au ventricule gauche la puissance nécessaire pour pomper le sang dans tout le corps, de la tête aux pieds. Lorsque votre cœur se contracte, le sang est propulsé à travers la valve aortique dans l'aorte, qui est le plus gros vaisseau de l'organisme, et distribué dans le corps par l'intermédiaire d'un réseau d'artères.

Les maladies cardiaques :
Les maladies cardiaques sont dangereuses et peuvent causer la mort suite à un arrêt cardiaque.

La Cardiopathie Coronarienne : La maladie coronarienne est une maladie progressive, initiée par des lésions au niveau des parois des vaisseaux qui irriguent le cœur (les artères coronaires). Ces lésions déclenchent un processus complexe de remodelage et d’athérosclérose qui entraîne l'épaississement de la paroi artérielle et donc une diminution du flux sanguin vers le cœur. Ce processus entraîne l’athérosclérose (accumulation de dépôts graisseux), c’est-à-dire le rétrécissement ou l'obstruction (le blocage) des artères coronaires qui amènent le sang porteur d’oxygène au muscle cardiaque. En conséquence, le muscle cardiaque ne peut plus fonctionner correctement et peut même s'arrêter complètement.
L’infarctus de Myocarde : L’infarctus du myocarde est un infarctus touchant le muscle cardiaque. En langue courante, on l'appelle le plus souvent une crise cardiaque. Il se produit quand une ou plusieurs artères coronaires se bouchent, les cellules du myocarde (le muscle constituant le cœur) irriguées par cette (ou ces) artère(s) ne sont alors plus oxygénées, ce qui les empêche de se contracter et finit par entraîner leur mort.

L’Artériosclérose : L’Artériosclérose désigne toute dégénérescence fibreuse d'un tissu ou d'un organe. Avec l'âge, les tissus qui constituent les artères perdent leur élasticité et deviennent plus rigides. Le vieillissement normal des artères s’appelle artériosclérose.

L’Angine de poitrine : L’Angine de poitrine est une sensation de douleur ou de malaise à la poitrine. L’angine de poitrine se produit quand le muscle du cœur ne reçoit pas assez de sang et par conséquence, pas assez d’oxygène, pour fonctionner normalement. L’angine de poitrine est généralement causée par le durcissement des artères.


Les causes principales des maladies cardiaques :
Les principaux facteurs de risque cardiaques sont modifiables et sont donc ceux sur lesquels la prévention peut agir : le cholestérol, l’hypertension artérielle, le tabac et la sédentarité.


Le Cholestérol: Le cholestérol, substance indispensable à notre organisme, peut devenir dangereux lorsque son taux dans le sang est en excès. Le cholestérol en excès se dépose sur les parois des artères notamment celles du cœur(artères coronaires), formant des plaques graisseuses qui s’épaississent au fil des ans (athérosclérose).

L’Hypertension artérielle: La "Tension artérielle" varie naturellement au rythme du cœur: Quand le cœur se contracte et propulse le sang dans les artères, elle est plus élevée (pression systolique), quand le cœur se relâche et se remplit de sang provenant des veines, elle est plus basse (pression diastolique). L’hypertension artérielle correspond à une pression trop élevée du sang dans les artères à partir de 14/9.




Le Tabagisme : Le tabac est une grande menace pour les artères : Les artères coronaires (risque d’infarctus, de mort subite), les artères des jambes: l’artérite se rencontre presque exclusivement chez les fumeurs, les artères cérébrales (risque de paralysie). La nicotine accélère le cœur, augmente la tension artérielle, fait baisser le "bon cholestérol" (cholestérol LHD), augmente l’agrégation des plaquettes sanguines et favorise la formation de caillots.

La Sédentarité: Sans effort physique régulier, le muscle cardiaque perd sa puissance de contraction. Il reçoit et renvoie de moins en moins de sang dans le corps, donc moins d’oxygène aux muscles et aux organes. Il récupère moins vite après l’effort.

Aujourd'hui, vous pouvez réduire votre risque cardiovasculaires en suivant quelques conseils d'hygiène de vie : opter pour une alimentation équilibrée, arrêter de fumer, surveiller votre tension, faire un peu de sport, etc. Devenez vous-même le meilleur allié de votre cœur!


TensioReg
Gélules pour régulariser la tension artérielle, favorisant la circulation sanguine.
Pilulier de 60 gélules de 200mg
Pilulier de 60 gélules de 100mg

L’action de TensioReg :
L’action bénéfique de TensioReg se fait sentir après quelques jours seulement. Par contre, pour parvenir à la régularisation complète de la tension il faut concevoir que TensioReg agit progressivement pour rendre leur vitalité à tous les organes concernés et assurer leur bon fonctionnement, qui seuls permettent une auto-régulation de la tension artérielle (Hypertension – Hypotension) sans risque d’effets secondaires.

CardioVascine
Complexe phytothérapeutique visant à prévenir et à réduire les risques cardio-vasculaires.
Boîte de 60 gélules de 375 mg

Action de CardioVascine : Préventive et curative
CardioVascine est un puissant régénérateur tissulaire; il apporte sélectivement au cœur et aux artères les nutriments nécessaires à leur bon fonctionnement. CardioVascine règle l’énergie électrique du cœur et améliore la capacité contractile du muscle cardiaque.
CardioVascine améliore ainsi la circulation du sang et assure une meilleure oxygénation des cellules.

CholestCure
CholestCure est un complexe phyto-thérapeutique, visant à diminuer durablement le taux de mauvais cholestérol sanguin. Pilulier de 60 gélules de 375 mg

Action de CholestCure : La médecine Unani considère que le taux de mauvais cholestérol peut être maitrisé en veillant à ne pas surcharger le foie par l’afflux de mauvaises graisses. Celui-ci est alors capable de faire son travail de transformation des graisses en cholestérol et de gérer l’équilibre et la circulation du bon et du mauvais cholestérol dans le sang. Composé de 7 plantes qui agissent en synergie CholestCure agit en trois temps : améliorer le métabolisme des graisses dans le foie, éliminer les déchets, fluidifier le sang. CholestCure est une alternative naturelle aux hypocholestérolémiants issus de la chimie de synthèse et particulièrement aux “statines” de plus en plus controversées.


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Syndrome du canal carpien

Relations : Syndrome du canal carpien
Produits : Mousse-o-soft.
Coude tennis :
L'épicondylite ou coude tennis est une maladie douloureuse du coude. On l'appelle aussi tennis elbow (ou "coude du joueur de tennis"), appellation trompeuse, car la plupart des personnes qui souffrent de ce problème ne jouent pas au tennis. En fait, l'épicondylite est rarement associée à des activités de loisirs.
L'appellation scientifique du tennis elbow, "épicondylite latérale", désigne une inflammation qui survient au voisinage d'une petite saillie osseuse de l'os du bras (humérus), juste au-dessus de l'articulation du coude sur la face externe du bras. Il arrive toutefois que d'autres régions de l'avant-bras et du coude soient douloureuses. Selon certains experts, l'appellation "syndrome douloureux latéral du coude" est plus précise, mais cette appellation est encore peu utilisée. L’épicondylite ou coude du joueur de tennis est cinq à neuf fois plus fréquente que l’épitrochélite. La douleur se situe surtout dans la partie externe de l’avant-bras, dans la région de l’épicondyle. L’épicondyle est une petite saillie osseuse de la face externe de l’humérus, l’os du haut du bras, située près du coude. L’épicondylite touche environ 0,6 % des travailleurs, les travailleurs manuels étant les plus touchés, et pas moins de 40 % des joueurs de tennis.
Ce sont principalement les tendons lésés situés à proximité du coude qui sont responsables de la douleur associée à l'épicondylite. Les tendons sont de solides bandes de tissu qui fixent les muscles à l'os. Lorsqu'ils subissent une tension ou une surutilisation répétées, les tendons deviennent sensibles et gonflés. Le sujet souffre alors de tendinite (ou ténosite), terme médical désignant l'inflammation d'un tendon. L'épicondylite latérale (ou tennis elbow) désigne un type particulier de tendinite qui touche une région particulière du coude.
Il existe trois types de coude tennis :
Le coude tennis articulaire : Dans ce cas, la douleur est liée à une altération de l’articulation elle-même. Il peut s’agir d’une fissuration d’un ménisque inconstant situé dans l’articulation du coude (entre radius et humérus), d’une maladie du cartilage telle que l’on peut en rencontrer chez l’enfant et l’adolescent, d’une inflammation ou d’une maladie de la membrane synoviale. Les douleurs sont plus souvent d’apparition brutale, avec une limitation de la mobilité du coude fluctuante.
Le coude tennis neurologique : Le nerf radial, innervant la main, passe juste en avant de l’épicondyle, et peut être comprimé par des formations anatomiques anormales. La douleur ressemble alors à une brûlure, irradiant vers le haut ou le bas, souvent nocturne. Des fourmillements peuvent être retrouvés sur le dos de la main.
Le coude tennis intriqué : Fréquemment, nous retrouvons des formes vieillies comportant plusieurs atteintes parmi les lésions suscitées.

Les causes et les facteurs de risque :
Le coude tennis survient chez les personnes qui répètent souvent un même mouvement de la main et du poignet. Par exemple, forcer du poignet vers le bas ou vers le haut en faisant une torsion de l’avant-bras. Pensons aux sports de raquette, au désherbage du jardin, à l’usage fréquent du tournevis, au transport de valises lourdes, etc.
Lorsqu'on effectue ces mouvements de manière inadéquate et répétitive, on croit que de petites déchirures se formeraient dans les tendons. Ces microtraumatismes entraînent des lésions et une irritation des tendons. L’usure du coude ou l’irritation des nerfs dans le voisinage du coude pourrait aussi causer douleurs et inflammation. Même si ces lésions ne provoquent pas toujours une inflammation des tendons, les tissus avoisinants peuvent s’enflammer et affecter l’articulation du coude.
Les personnes a risque sont Les joueurs de tennis et les personnes qui pratiquent d’autres sports de raquette, les menuisiers, les maçons, les ouvriers de chaînes de montage, les personnes qui passent beaucoup de temps à un clavier d’ordinateur disposé de manière non ergonomique, les musiciens jouant d’un instrument à cordes ou de la batterie et les personnes de plus de 30 ans sont plus à risque que les plus jeunes.
Les signes de la maladie :
L'épicondylite latérale peut se manifester par une grande sensibilité au toucher de la face externe du coude. Cette sensibilité devient douloureuse lorsque le poignet et le coude accomplissent certains mouvements, par exemple :
plier le poignet en gardant le coude tendu,
tenter de redresser le poignet contre résistance tout en gardant le coude tendu,
tenter de plier la main vers l'arrière contre résistance, tout en gardant le coude tendu
tenter de redresser les doigts contre résistance.
En général, il n'existe aucun signe visible de rougeur ou d'enflure. La plupart du temps, seul un bras est atteint, habituellement celui qui travaille le plus.
La douleur persiste généralement pendant quelques semaines, mais dure parfois plusieurs mois. Dans 1 % des cas, les symptômes persistent pendant plus d’un an.
Le coude tennis peut se manifester de différentes façons. Certaines personnes voient leurs symptômes apparaître progressivement, après avoir effectué le même type de travail pendant plusieurs années. D'autres sont atteintes brusquement, peu de temps après avoir commencé à effectuer un nouveau travail. Il arrive parfois que les symptômes apparaissent immédiatement après un unique effort musculaire violent ou après une blessure au coude. Dans d'autres cas, le coude tennis apparaît sans qu'il soit possible d'en déterminer la cause.
Prévention :
La prévention constitue donc le moyen le plus efficace d'atténuer ou de circonscrire ce problème en milieu de travail. La prévention de l'épicondylite passe par:
une sensibilisation générale visant à mieux faire connaître la maladie et ses rapports avec les activités professionnelles,
une intervention rapide visant à cerner les facteurs de risque et à les éliminer avant que la maladie n'apparaisse.
Il faut identifier les tâches associées à l'épicondylite et les modifier de manière à réduire le risque de blessures graves. Il est particulièrement dangereux d'utiliser les doigts, les poignets et les avant-bras pour effectuer un travail répétitif, qui nécessite un mouvement vigoureux et l'adoption de mauvaises postures, et laisse peu de place au repos.
Si l'on veut prévenir l'épicondylite, il importe de bien concevoir les lieux de travail de façon à éviter que les travailleurs doivent constamment travailler à bout de bras. Le choix des outils et l'emplacement de l'équipement peuvent également aider à réduire au minimum la distance des objets à atteindre et à limiter le poids des objets soulevés ou déplacés à bout de bras.
Baume Mouse.O.Soft
Lotion huileuse phyto-thérapeutique qui apaise les douleurs associées au Syndrome du Canal Carpien et en élimine les symptômes. Syndrome qui affecte de nombreux informaticiens et utilisateurs de jeux vidéo.
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